Le programme Sida des armées, sur un peu plus de 300 malades suivis, a enregistré seulement une dizaine de personnes qui a arrêté le traitement, pour zéro décès noté dans la période 2014-2015.
Une situation due selon le point focal, le colonel pharmacien, Babacar Faye de l’hôpital militaire d’Ouakam, à une meilleure prise en charge de ces personnes considérées comme vulnérables à cause de leur mobilité.
Pour un taux de prévalence de 0,7 légèrement inférieur à la population générale (0,74%), ledit programme met l’accent sur les nouvelles infections.
Source Sud Quotidien