Le financement est destiné à soutenir les programmes de réponse et de relèvement COVID-19 et Une seule santé de la FAO
L’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a accueilli aujourd’hui une contribution de 10 millions de dollars des États-Unis d’Amérique à ses efforts de réponse au COVID-19 et pour aider à relever d’autres défis qui menacent la santé humaine, animale et environnementale, y compris l’avenir pandémies.
Selon un communiqué reçu, dans une lettre à la FAO, le département d’État américain a déclaré que le financement était destiné à soutenir le programme de réponse et de rétablissement COVID-19 de l’agence, qui fait partie de son programme plus large One Health.
Plus précisément, le financement vise à aider à renforcer les systèmes nationaux et internationaux Une seule santé grâce à une alerte précoce multisectorielle améliorée, à une évaluation et à une réduction des risques, et à la gestion progressive des ravageurs et maladies zoonotiques émergents et endémiques et à fort impact des animaux et des plantes, y compris ceux à épidémie et le potentiel pandémique.
« Nous remercions le gouvernement des États-Unis d’Amérique (États-Unis) pour son soutien généreux au programme de réponse et de rétablissement COVID-19 de la FAO et aux évaluations des risques tripartites One Health au niveau national », a déclaré le directeur général de la FAO, QU Dongyu. « Une approche One Health fondée sur la science dans les systèmes agroalimentaires est essentielle pour l’alerte précoce et la prévention des maladies zoonotiques. »
La contribution des États-Unis , nous dit-on, profitera aux pays d’Afrique, d’Asie, d’Amérique latine et du Proche-Orient. Lancé à la mi-2020, le programme de réponse et de relèvement COVID-19 de la FAO vise à lutter de manière proactive et durable contre les impacts socio-économiques de la pandémie.
Conformément à l’approche des Nations Unies pour « reconstruire en mieux » et dans la poursuite des objectifs de développement durable, il vise à atténuer les impacts immédiats de la pandémie tout en renforçant la résilience à long terme des systèmes agroalimentaires durables et inclusifs. Un domaine prioritaire clé se concentre sur la prévention de futures pandémies, étant donné qu’environ 60 % de toutes les maladies infectieuses sont causées par des agents pathogènes zoonotiques, la majorité provenant de la faune sauvage.
