Les territoires d’outre-mer britanniques ont longtemps été une destination de choix pour les blanchisseurs d’argent et d’autres qui cherchent à déplacer ou cacher leur richesse en mer.

« Mardi , nous avons reçu une excellente nouvelle : Les territoires d’outre-mer britanniques ont longtemps été une destination de choix pour les blanchisseurs d’argent et d’autres qui cherchent à déplacer ou cacher leur richesse en mer.

Le gouvernement britannique a accepté d’exiger des Territoires d’ outre – mer britanniques d’introduire des registres publics de propriété effective . Cela signifie que les entreprises basées dans des endroits comme les Bermudes, les îles Caïmans, Îles Turks et Caicos et les îles Vierges britanniques devront bientôt révéler l’identité des personnes qui sont propriétaires ou les contrôlent », se réjouit Transparency International.

Plus de la  moitié des sociétés offshores visées dans les documents de Panama ont été mis en place dans les îles Vierges britanniques. Maintenant, elles ne pourront plus prendre  des fuites comme celles devant porter d’importantes informations financières de ces territoires à la lumière.

« Comme nous l’avons souligné dans notre rapport le mois dernier, maintenant il appartient aux autres pays du G20 à intensifier leurs efforts. Si les gouvernements dans d’autres juridictions du secret ne jouent pas le jeu, ils pourraient bientôt se retrouver au risque d’être utilisé comme un refuge pour de l’argent corrompu et les gains mal acquis.

Le Royaume – Uni vient de rendre plus difficile pour les corrompus de cacher leur richesse en mer Du scandale Lava Jato au Panama et Paradise Papers, maintes et maintes fois, nous avons vu comment les territoires en mer – souvent connu sous le nom des juridictions du secret ou les paradis fiscaux – jouent un rôle clé dans la facilitation de la circulation illicite d’argent à travers les frontières », rappelle Transparency.