Parrainage pour la présidentielle 2024 : La Coalition Gakou 2024 liste les plaies du régime et se dresse en sauveur

En route vers le Parrainage pour la présidentielle 2023, la Coalition Gakou 2024, dans un communique reçu liste les plaies du régime et se dresse en sauveur. Pourquoi parrainer la Fiche 47, voici un extrait des arguments de Malick Gackou et ses camarades :

 

Citoyens et Citoyennes du Sénégal, C’est avec gravité et émotion que la Coalition Gakou 2024 se présente à vous. Elle est composée de compatriotes sénégalais et sénégalaises dont certains sont peut-être vos amis, vos parents, vos collègues ou vos voisins.

Ce sont des compatriotes vivant près de chez vous ou  parmi vous, des compatriotes fonctionnaires, travailleurs du secteur privé ou parapublic, des artisans, des commerçants, des artistes, des étudiants, des retraités, des chômeurs, des paysans, des éleveurs, des pêcheurs ,des religieux musulmans et des religieux chrétiens ;des compatriotes qui partagent vos réalités et vos difficultés quotidiennes mais surtout des compatriotes qui partagent avec beaucoup d’entre vous un point commun : leur amour du Sénégal et leur volonté de changement et d’alternance à la tête du pays pour une alternative sérieuse et crédible au système politique en place.

Faut-il parler de cette jeunesse à l’abandon qui transforme le désert et l’océan en mouroirs à ciel ouvert, de ces étudiants diplômés sans perspectives , de nos aînés retraités et maltraités, de la défaillance de notre système de santé, de la ghettoïsation de certaines de nos villes au sein desquelles en 2023 encore l’eau et l’électricité sont parfois une denrée rare ?Faut-il parler des femmes qui sont exclues des lieux de création de richesses ?

Faut-il parler de la diaspora déçue malgré des engagements pris et de nombreux espoirs suscités antérieurement ?

Faut-il parler de cette pauvreté grandissante qui touche un Sénégalais sur trois, de notre système éducatif et de l’université qui sont des symboles d’échec et non de réussite ?

Faut-il parler de l’absence d’infrastructures dignes à l’intérieur du pays ,de nos frères et sœurs des zones otages d’un enclavement faute de voies carrossables, de la gangrène de la corruption et des détournements de fonds publics qui minent certaines sphères de décision et des pans entiers de notre économie au sein desquels les Sénégalais sont presque absents ?

Faut-il parler de la vie chère qui appauvrit chaque jour davantage nos compatriotes, de notre dépendance alimentaire, de nos artistes créateurs dans l’incapacité de vivre de leur art en dépit de talents incontestés, de nos compatriotes emprisonnés ou en exil et de la perte de nos valeurs et traditions ?

Faut-il parler de l’agriculture, de l’élevage, de la pêche encore à l’état primaire et des zones et populations appauvries et négativement impactées par l’exploitation des ressources naturelles ?

Faut-il parler de la préférence étrangère, de notre endettement excessif, de la récurrence de nos déficits budgétaires et du refus de franchir le cap de l’industrialisation pour la transformation de nos produits agricoles et miniers ?

Faut-il parler de la restauration de nos écosystèmes endommagés et de la préservation de la biodiversité pour limiter les effets du changement climatique sur les populations, sur certaines espèces et sur le rendement de certaines de nos cultures ?

Faut-il parler de notre modèle économique peu respectueux et peux vertueux envers la nature ?

Faut-il parler de l’intégration économique africaine et de la libre circulation des biens et services dans l’espace CEDEAO qui ressemblent encore à des miroirs aux alouettes et de la diplomatie sensée être au service de l’affirmation du Sénégal et de l’Afrique ?

La litanie des plaintes est longue, tant le bilan des douze années du pouvoir en place est mitigé pour certains et catastrophique pour d’autres. C’est pourquoi il faut passer à autre chose en tournant la page du pouvoir sortant qui nous dit à chaque 31 Décembre et à chaque 3 Avril que le pays va de mieux en mieux alors qu’il n’a plus la capacité de répondre aux besoins de justice sociale des populations et au défi d’une économie  ouverte et mondialisée mais contrôlée et maîtrisée par les nationaux.

Au sein du Grand Parti nous y travaillons avec force depuis plusieurs années ainsi qu’avec d’autres partis, mouvements et hautes personnalités réunis au sein de la Coalition Gakou 2024 depuis des mois.

Parrainer la Coalition Gakou 2024 ou la  Fiche 47 c’est parrainer la bonne gouvernance, un leadership avisé, une exploitation de l’ensemble des intelligences nationales, une gestion efficiente des ressources du Sénégal, la libération et le réveil du Sénégal pour une réaffirmation de nos droits, de notre dignité, de nos valeurs pour un legs à nos enfants et arrières petits-enfants.

Parrainer la Coalition Gakou 2024 ou la Fiche 47 c’est parrainer une nouvelle vision incarnée par des Sénégalais et des Sénégalaises avides de changement et aimant le Sénégal affranchi des scories du passé, des compatriotes valeureux qui ne sont liés au pouvoir actuel par aucun pacte et qui ne sont associés ni de près ni de loin à la gouvernance actuelle.

Parrainer la Coalition Gakou 2024 Ou La Fiche 47 c’est parrainer un candidat qui n’est pas déconnecté des réalités quotidiennes de ses compatriotes et qui est imbu de valeurs telles que la loyauté, la fidélité envers les populations mais surtout qui est déterminé et prêt à tous les sacrifices pour l’amélioration du quotidien des Sénégalaises et des Sénégalais et la préparation de leur avenir. Parrainer la Coalition Gakou 2024 ou la Fiche 47 c’est parrainer le pouvoir d’achat et le revenu par habitant au Sénégal…..

Pape Ismaïla CAMARA
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