Un point de presse organisé par le Syndicat National des Conducteurs de Taxis deux roues affilié à la CNTS s’est tenu, ce mardi 4 février 2025, dans les locaux de la CNTS sis à Colobane. Il s’agit d’une forte précision sur les mesures de régularisation annoncées par le gouvernement afin d’assainir et d’innover ce secteur.
Le Syndicat National des Conducteurs de Taxis deux roues, sollicite une audience avec le PM de la république M. Ousmane Sonko pour déchiffrer les réels problèmes et défis du secteur Taxi à deux roues.
Syndicat représenté dans 12 des 14 régions du Sénégal, les acteurs dénoncent l’usurpation de certaines associations qui ont réussi à effectuer une audience avec les décideurs de la république au nom de tous les acteurs du secteur.
Face à l’opinion nationale, les membres du syndicat affirment qu’aucune consultation préalable n’a été effectuée. Ils ont ainsi dit que : « Le déficit des ressources humaines dans les services régionaux des mines ; la non-effectivité de la décentralisation des équipes chargées de l’enrôlement dans les départements ; la présence physique de l’importateur de la moto exigée dans certaines régions pour la légalisation », d’après la déclaration liminaire énoncée par Monsieur Assoumane Badjie.
En outre, ils exigent de faire une prolongation du délai initial prévu le 13 mars 2025, installant un comité d’enrôlement permanent dans tous les départements du pays et promouvoir une révision totale de l’arrêté Mor Ngom pour l’adapter au nouveau contexte.
Réunissant le Syndicat National des Conducteurs de Taxis deux roues, affilié à la CNTS et la presse nationale, un point de presse effectué dans un contexte où le gouvernement étant en phase d’annonce, veut décliner une vision du chef de l’État et une demande sociale, sur la régularisation des Taxis deux roues.
Étant donné que ce secteur génère des dividendes, c’est pourquoi un nombre important de jeunes diplômés et non diplômés s’engagent à entreprendre, espérant tirer profit avec les Taxis deux roues.
Certes, ce système de transport est un facteur de réduction du taux de chômage des jeunes, mais une insécurité remarquable due aux défauts d’immatriculations demeure insaisissable.
Correspondance articulière
Papa S Traoré