«Plus un seul soldat français au Mali et c’est ce moment choisi par la France via son ambassade au (Sunugaal) pour parler de ‘risque d’attentat élevé au (Sunugaal)’», s’est désolé le Front pour une révolution anti-impérialiste populaire et panafricaine (FRAPP) qui rappelle qu’en 2019, il avait «dénoncé la France comme étant la première entreprise terroriste en Afrique.

Le FRAPP avait dévoilé aussi en 2019 le modus operandi de la France qui prépare les citoyens d’un pays à des ‘attaques terroristes’. Enfin, le FRAPP avait montré que plus la France était présente dans une localité et plus cette localité était en proie à des ‘attaques terroristes’»

Selon le FRAPP, «cela avait eu comme conséquence l’emprisonnement pendant un mois à la prison de Rebeuss du secrétaire administratif du FRAPP, Guy Marius Sagna. Aujourd’hui encore, pour le FRAPP la principale menace terroriste, la principale menace à la paix et à la stabilité en Afrique, c’est la présence militaire étrangère, particulièrement la présence militaire française». Dans le même sillage, «le FRAPP salue la posture des autorités maliennes qui ont exigé le départ de l’armée française du Mali» et «exige le départ de l’armée française du (Sunugaal). Pour la souveraineté territoriale, armée française dégage ! La France sera tenue responsable de toute attaque terroriste au (Sunugaal)».

Vox Populi