Quand le PDS prend une position radicale dans le dialogue qu’on ne vienne pas accuser Karim Wade

Le dialogue est essentiel au bon fonctionnement de la démocratie et notre pays à la culture du dialogue. Mais ça ne veut pas dire que les acteurs politiques doivent fermer les yeux sur la mauvaise gestion du gouvernement.

La fibre patriotique, le parti démocratique sénégalais ne l’a jamais perdue dans son combat quand il s’agit de défendre le peuple et les intérêts du Sénégal. C’est pourquoi l’idée d’un rapprochement entre Abdoulaye Wade et Macky Sall politiquement ça ne pouvait pas fonctionner.

Maintenant s’il s’agit d’apaiser le climat politique, oui le président Wade est un homme de paix et d’ailleurs c’est pour cette raison qu’il a accepté avec une très grande élégance l’invitation du président Macky  Sall au palais.

Mais quand le pouvoir dans ces retrouvailles veut profiter de l’occasion pour effacer toutes les fautes de gestion commises par son régime, ce que le secrétaire général du Pds a catégoriquement refusé, pour se démarquer de leur position.

En clair son parti n’est pas une roue de secours à l’inverse d’autres partis depuis 2012 ont participé de loin comme de près dans une gestion commune avec le pouvoir de nos ressources.

Et tous doivent rendre compte le moment venu. Le pouvoir doit apporter des réponses crédibles pour démentir qu’il ne cherche pas à faire l’impasse sur des gens épinglés pour fautes de gestion. Mais quand le Parti  démocratique sénégalais prend une position radicale dans le dialogue qu’on ne vienne pas nous dire c’est à cause de Karim Wade.

Jon Birahim

Responsable fédération des cadres libéraux de France. 

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