Quand l’opposition ne s’implique plus dans le combat le peuple est réduit à de simples sujets dans le fonctionnement de la démocratie

La hausse de prix de l’électricité l’opposition devait être au premier rang dans la contestation. Cela ne va dire profiter d’une situation pour tirer à boulet rouge sur le régime comme le font certains opposants.

À l’état actuel le peuple est conscient qu’il n’y a aucun leader de l’opposition capable de prendre en main leurs revendications pour mener le combat. Soit certains sont occupés à tiré sur le régime et d’autres à faire des éloges au prince ou de choisir le silence. Voilà tristement comment est devenue l’opposition sénégalaise.

Accusons qui on veut mais le fond du problème est dans l’absence d’un leader crédible et surtout  dans la confiance qu’il faut avoir sur cette personne pour porter ce combat.

Cette  question divise  les leaders de l’opposition qui optent pour la plupart du temps le choix dans la création d’un front pour mener le combat du peuple. Mais à chaque fois elle se fait avoir  par  le pouvoir. Un front est plus vulnérable que l’opposition réunie dans son ensemble.

Pour bien fonctionner l’opposition à besoin d’un chef un vrai leader et doit finir avec ces créations de fronts insignifiants à chaque fois qu’il y’a des contestations  Du statut de citoyen on  traite le peuple comme des sujets inutiles dans le fonctionnement de la démocratie.

Le ni Oui ni Non sur un troisième mandat en est la preuve. Et si le pouvoir se le permet d’une part il sait en face ceux qui s’opposent sont insignifiants quand en  partie certains, prennent part à son banquet , et d’autres sont isolés ou gardent le silence.

Jon Birahim

Responsable fédération des cadres libéraux France.

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