Pour mieux consolider les relations entre les états, il faut du donnant-donnant

Il n’est pas question de blâmer les investisseurs mais faire en sorte que quand ils viennent investir au Sénégal qu’ils aient du donnant-donnant. Les états comptent beaucoup  sur l’investissement des bailleurs de fonds pour dérouler leurs programmes politiques.

C’est dans la direction des bailleurs de fonds que beaucoup de pays à l’image du Sénégal déroulent leur programme de politique économique. La question est maintenant  les états qui possèdent cette richesse qui attire les bailleurs de fonds sont-ils dans l’obligation de s’incliner devant cette communauté d’affaires ?

La seconde phase du PSE est programmée pour une rencontre en décembre avec les bailleurs de fonds, mais c’est encore le gouvernement sénégalais qui est obligé de faire le déplacement à l’étranger avec l’argent du contribuable sénégalais. Dans la mesure où le Fmi a sonné l’alerte visant un manquement dans son rapport, rappelant le gouvernement sénégalais à respecter ses engagements.

L’état ferait mieux de réduire ses dépenses pour au moins respecter les Sénégalais. Cette faiblesse que les dirigeants affichent devant cette communauté d’affaires freine l’Afrique dans la mondialisation.

Au lieu d’un programme politique au service d’un développement collectif la plupart se font écraser par les bailleurs de fonds .Au  final c’est le contribuable qui descendra dans la rue pour exiger à ce que le gouvernement respecte ses engagements comme dans toutes les pays qui se réclament  démocrates.

Jon Brahim responsable Pds France.

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