Le député Pastef Alioune Sall, responsable du parti Pastef, en France, a soutenu que les visites auprès des organisations internationales en charge de la défense des Droits humains vont se poursuivre pour dénoncer les actes de Macky Sall et de son gouvernement.
«Ce travail a commencé et cela va continuer pour que le Sénégal redevienne un État de droit. Et nous n’allons, pour rien au monde, les laisser dans cette situation», a promis le sieur Sall, membre du groupe parlementaire de la coalition Yewwi Askan Wi.
Ces propos vite exprimés, le député de la Diaspora a révélé que le Garde des Sceaux, ministre de la Justice, était attendu dans les locaux du Haut-commissariat sur les Droits de l’Homme.
«Nous avons appris que Ismaëla Madior devait être là ce matin». Il a envoyé une délégation qui, selon lui, vient «certainement dans cette perspective de manipulation et du banditisme d’État. Et là, on assume les mots pour dire que le régime de Macky Sall est en train de faire vivre son peuple depuis quelques temps».
Selon M. Fall, les conseils et alliés de Ousmane Sonko n’entendent pas laisser libre champs aux autorités qui les suivent partout. «De la même manière, nous allons suivre leurs traces et nous mènerons où qu’ils puissent aller. Surtout là, de manière factuelle, parce que Me Branco a déposé un dossier avec 300 et quelques pages, des mémorandums, etc.».
Un dossier qui, à en croire, Alioune Sall, le député, contient «des éléments basés sur du solide, des faits réels, sur du factuel». Et là, il dit croire que le commissariat, indépendant, va «juger la nécessité, en tout cas, et surtout la célérité pour voir ce qu’il faut, pour donner une suite par rapport aux recommandations et les plaintes que nous leur avons transmises aujourd’hui.
Vox populi