France : la montée en puissance de la gauche radicale et l’héritage raté du mitterrandisme.

Jean Luc Mélenchon a obtenu le meilleur score pour son parti lors du premier tour de l’élection présidentielle, mais pas suffisant pour se qualifier au second tour.

Parce qu’il y a une véritable malaise au sein des formations politiques des partis de gauche.

Et si la droite chiraquienne a obtenu un score dérisoire c’est aussi le malaise a fini par prendre place dans cette formation politique.

La gauche mitterrandienne si on revient en arrière, ça commencé quand Michel Rocard a été mis à l’écart.

Et, surtout la préférence du fascisme par une très grande partie de l’électorat français en 2002 au détriment de l’ancien premier ministre Lionel Jospin

Depuis lors le malaise socialiste est devenu une réalité au jour le jour. L’espoir sur Dominique Strauss-Kahn pour sauver ce parti s’est révélée être un vrai bordel médiatique.

Après les guerres de positionnement et de leadership se sont installées dans ce parti historiquement discipliné dans sa conduite politique.

Et n’a pas épargné malheureusement l’ancien président Hollande qui a été écarté par un jeune loup qui voulait sa place le président Emmanuel Macron.

Ces deux grandes formations politiques vivent dans la division ils n’ont pas d’autres choix que d’appeler leurs électeurs à voter pour la réélection d’Emmanuel Macron pour faire barrage à la formation politique de Marine Lepen qualifiée pour le second tour.

Selon le jargon mitterandien Macron est « un objet politique non identifié». Il est devenu le plus jeune président de l’histoire politique française a-t-il été imposé au français comme on imposerait au reste du monde leur président ?

Les intellectuels à ce sujet décrivent Macron comme quelqu’un qui a OSÉ qui n’est pas resté a attendre son tour alors qu’il a les qualités pour occuper les fonctions présidentielles.

Emmanuel Macron a quitté ses fonctions ministérielles parce qu’il était persuadé qu’il valait mieux. Son parcours politique est celui d’un jeune ambitieux avec ses propres convictions.

Mais son quinquennat a été fortement marqué par une montée en puissance de la gauche radicale.Et les manifestations de mouvements sociaux pour contester sa réforme sur la retraite avec les gilets jaunes à pousser son pouvoir a employé parfois une méthode trop brutale et autoritaire face aux manifestants.

Réussira t-!il à tous les convaincre pour voter au second tour pour sa formation politique.

 

Jon Birahim.

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