Visé par la plainte pour « escroquerie aggravée’’ déposée par l’homme d’affaire burkinabé Mamadou Boukoungou, le 11 Avril à Cotonou. Thomas Boni Yayi a affirmé à plusieurs de ses proches ne pas se sentir concerné par cette affaire révélée par La Lettre du Continent.
Selon sa propre version, l’ex-président béninois se serait borné à mettre les deux hommes en contact début 2016.
L’actuel patron de la Southbridge Bank et du think-tank français Terra Nova cherchait alors à financer sa campagne électorale.
Selon la nouvelle parution de nos confrères, également cité dans une plainte déposée par Lionel Zinsou à Paris, qui lui reproche d’avoir accueilli une partie des fonds versés par le patron d’Ebomaf, le prédécesseur de Patrice Talon affirme que les juges français devront se déplacer à Cotonou s’ils veulent l’entendre.