scandale homosexuel à la grande mosquée de Dakar : Jamra et ses alliés portent plainte

Voilà que les suppôts de ces lobbies sataniques, lesquels ne posent aucun acte par hasard, enjambent la ligne Maginot dans la nuit de ce lundi 23 novembre, en commettant l’inimaginable : souiller ce haut lieu de culte, qu’est la Grande Mosquée de Dakar, en y perpétrant le plus ignoble des péchés, banni par au moins 18 «fatwas» du Saint Coran, après avoir été fermement proscrit par les Textes de la Chrétienté, notamment Lévitique (chapitre 18, verset 22) : «Coucher avec un homme comme on couche avec une femme est une abomination», pestent Mame Makhtar Gueye et Cie, sur un communiqué reçu par 24 Heures.

Selon eux, «les Goordjiguènes ont viennent de franchir le Rubicon». «Jamra salut la prompte réaction des éléments de la Police de Rebeuss, qui ont aussitôt débarqué sur ce haut lieu de culte, après avoir été alertés par le préposé au gardi­ennage de la Grande Mosquée. Pour ap­préhender ces déviants, en flagrant délit de sodomie».

Mame Makhtar Gueye et ses alliés de renchérir : «Cette énième provocation, à l’actif d’une minorité insignifiante de déviants, s’inscrit en droite-ligne de cette culture de l’impunité, dont les récépissés de reconnaissance officielle, scandaleusement détenus par au moins 16 associations d’homosexuels et de lesbiennes, jouent incontestablement un effet catalyseur. Convaincus, selon l’expression populaire, que «dou moudjé fénn» (ce sera classée sans suite), ces contrevenants permanents à l’article 319 du Code pénal, confortés par lesdits récépissés, que leur a délivrés le ministère de l’Intérieur (et dont Jamra en avait apporté les preuves irréfutables, lors de notre face-à-face, le 13 novembre 2019, avec le ministre sortant) ne se fixent plus de limite dans leurs frasques provocatrices, au point d’avoir exaspérées de larges franges de la société sénégalaise, agressée dans ce qu’elle a de plus cher: sa Foi».

Toujours selon eux : «Tirant profit de l’avènement des NTIC, les marionnettistes de nos déviants locaux, semblent avoir dotés leurs snipers invétérés de «moyens conséquents de ripostes». Ils galvanisent sporadiquement leurs troupes éparses, dans le sombre dessein d’organiser, notamment dans les réseaux sociaux, des tirs de barrages sur les rares compatriotes qui osent encore dénoncer leurs dépravations.

Abonné(e)s aux plateformes à haute fréquentation de «followers», ils lâchent une horde de lesbiennes et de gord­jiguénes qui, sous couvert de la lâcheté de l’anonymat (profils anonymes, sans visage), inspiré(e)s et soutenu(e)s par des puissances maléfiques tapies dans l’ombre, envahissent Facebook, YouTube, la presse en ligne, etc., pour abreuver de leurs nauséabondes injures de braves compatriotes, des croyants imbus de leurs devoirs sacrés de veiller à la préservation des nobles valeurs de notre sublime religion. Ainsi, suffit-il que les frasques sataniques d’un des leurs défraient la chronique, pour que la Meute reprenne spontanément service. Pour organiser la résistance. En larguant de répugnantes diatribes, indistinctement sur un modeste professeur Cheikh Oumar Diagne, jusqu’au vaillant Khalife général des Tidianes Serigne Babacar Sy Mansour; en passant par le brave Serigne Modou Lô Ngabou, leader de l’organisation islamique «Safinatoul Amane» de Touba. Et ces relais locaux des lobbies LGBT de déverser, sans sommation, les ordures de leurs imaginations dévergondées sur les hautes vertus prônées par ces hommes d’honneur, réputés fustiger et combattre sans relâche toutes les dérives sociétales».

C’est pourquoi, « Les Bureaux Exécutifs de l’ONG islamique Jamra, de l’Association pour servir le Soufisme (AIS) et de l’ONG Daral Quran wal Ikhsan ont décidé de se constituer partie-civile, en saisissant d’une plainte le Procureur de la République. Auprès de qui Jamra avait naguère légitimement requis, et obtenu, la fermeture de la discothèque de lesbiennes, dénommée «5 sur 5», de Mboro (Région de Thiès), qui aura néanmoins eu le temps de pervertir nombre d’adolescentes de cette paisible localité», indique le communiqué.

Par ailleurs, Jamra a saisi cette opportunité «pour réclamer la réouverture de ce lieu de culte, fermé depuis le 20 mars dernier, pour motif de Covid19. «Wa anal massadjida lilah» -Les Mosquées sont les demeures d’Allah, nous rappelle le Saint Coran (Sôratoul Djinni 72, verset 18). La nature ayant horreur du vide, il n’est dès lors pas surprenant, qu’après huit mois de sevrage de culte divin, que Satan et ses suppôts y aient pris leurs quartiers».

Oumou Khaïry NDIAYE
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