Avec la levée des restrictions relatives à la limitation du nombre de places dans les transports en commun, les cars commencent à renouer avec les surcharges. Même si ce n’est pas encore pareil à la situation (les vieilles habitudes) d’avant pandémie du coronavirus, ces surcharges favorisent des attouchements dont se plaignent beaucoup de femmes et filles, clientes des bus et minibus.

«l’intervalle de temps entre les départ de bus est de dix (10) à quinze (15) minutes, ce qui est anormal. Et c’est qui explique cette surcharge au sein des bus. Il faut que je souligne aussi l’insécurité dans les bus ; des bandits qui agressent en plein milieu de la foule sans que personne ne réagisse.

Quid des attouchements sexuels, avec ‘’des hommes qui volent du plaisir en s’accolant ou se frottant à des femmes’’, la surcharge dans les bus aidant. L’Etat devait profiter de la pandémie du coronavirus pour rendre pérenne le respect du nombre de places et augmenter les cars de transports en commun. Et aussi il faut interdire les objets tranchants dans les transports en commun ; involontairement, leurs porteurs blessent souvent des clients pour après leur dire : ‘’pardon !’’», relève Hawa Ka.

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