Les incendies dévastateurs en Californie, notamment ceux de Los Angeles, soulèvent des interrogations profondes.
À l’heure où le monde se précipite à rechercher des solutions pour endiguer les phénomènes climatiques, il est essentiel de se poser une question fondamentale :
Pourquoi la Terre, qui nous a été donnée avec une logique parfaite, semble-t-elle être de plus en plus en déséquilibre ?
Je suis convaincu que les catastrophes actuelles, loin d’être simplement la conséquence d’une mauvaise gestion des ressources naturelles ou de l’industrie humaine, sont le reflet d’un éloignement de l’homme de ses principes spirituels et de ses responsabilités envers Dieu.
Les préoccupations environnementales, jusqu’ici dominées par des explications scientifiques et géopolitiques, négligent un facteur essentiel : la relation spirituelle de l’Homme avec Dieu.
Depuis trop longtemps, les débats sur le climat ignorent cette dimension spirituelle, pourtant fondamentale pour comprendre l’origine des troubles actuels.
Les rapports entre l’Homme et la Nature ont été unilatéralement traités sous l’angle des responsabilités humaines, mais jamais sous celui des droits spirituels et des conséquences de nos actes devant Dieu.
L’Homme, par ses comportements contre-nature et son éloignement des valeurs divines, perturbe l’équilibre naturel programmé de la Terre.
Les phénomènes climatiques extrêmes, tels que les incendies de forêt en Californie, sont, selon moi, le résultat de cette rupture dans l’harmonie que Dieu a instaurée.
Nous devons comprendre que la Terre n’a pas été conçue pour supporter indéfiniment les actions destructrices éthique de l’Homme.
Au lieu de chercher des solutions uniquement dans les domaines scientifiques ou politiques, il est crucial de revenir à une compréhension plus profonde : le rétablissement de l’équilibre passe par un retour aux principes divins, un respect renouvelé de la Nature et de la création.
Ce ne sont pas seulement les excès humains ou l’industrialisation excessive qui sont responsables de ces catastrophes, mais la dégradation spirituelle et morale de l’humanité.
Nous devons repenser notre rapport à la Nature, non seulement en termes de gestion des ressources, mais aussi en tenant compte de la dimension divine et spirituelle, indispensable à la restauration de l’équilibre de notre planète.
La Terre, avec ses capacités génératrices exceptionnelles, possède un potentiel inégalé pour satisfaire nos besoins fondamentaux, tant en termes de ressources naturelles que d’équilibre écologique, prouvant ainsi sa faculté à soutenir la vie de manière durable. »
Parfois, il est essentiel de décrypter les messages que l’humanité reçoit, et celui des récents incendies de Los Angeles en fait indéniablement partie, nous invitant à une profonde réflexion sur notre rapport avec la nature et l’univers.
Magaye GAYE
Economiste