Élections législatives il faut éviter de passer pour le bouffon dans la cour d’un roi en fin de règne..

Quand le sage désigne la lune l’idiot regarde le doigt.

Lors de la présidentielle de 2019 par la voix de son secrétaire général.Le parti démocratique sénégalais avait lancé un avertissement sur un scrutin où le pouvoir du début à la fin est seul à dicter sa loi. Pour les élections législatives si l’opposition laisse faire elle va revivre le même scénario

La majorité est affaiblie et paralysée par une candidature risquée si jamais elle est déclarée pour les présidentielles.

Et l’éclatement de la mouvance présidentielle en mille morceaux dépend des résultats qui sortiront des élections législatives.

Le pouvoir tentera par tout moyen de conserver la majorité à l’assemblée nationale.

Et l’opposition va rencontrer comme à chaque élection des désagréments volontaires vis-à-vis du code électoral.

On officialise sa participation et ensuite on fait un trie et rejeter certains par des motifs qui sont purement politiques.

Non seulement c’est aux antipodes des principes fondamentaux de la démocratie, mais aussi le fait de cautionner une liste de candidats tirer sur le volet ouvre une voie d’un état autoritaire.

Et c’est pourquoi nous en sommes là aujourd’hui. Il faut bannir le maintien en suspension de candidature et imposer un déroulement des élections avec une large participation des candidats déclarés

Toute l’opposition doit mener un combat sur des valeurs qui ont pour finalité restaurer l’État de droit que le peuple a besoin.

Birahim Jon

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