Le club des républicaines pour le développement ( CRED), créé le 18 mars 2017, a lancé officiellement le démarrage de ses activités ce samedi 17 juin 2017 à Dakar. Selon sa présidente Dr Nafissatou Diouf Dieng, le CRED se positionne comme une force de propositions et d’actions pour tous les décideurs épris des valeurs qui nous sont chers et que charrie notre chère république qu’est le Sénégal.
« Nous portons à la connaissances des sénégalais d’ici et d’ailleurs et de la diaspora notre détermination à associer toutes celles et ceux qui sont prêts à s’engager dans l’action citoyenne et politique. Loin de s’inscrire dans le mercantilisme politique, le Cred est une matrice de réflexion et d’actions au service unique et exclusif de l’entité que constitue le Sénégal », a fait savoir sa présidente.
A l’en croire, l’ambition et la volonté du club est de contribuer, modestement mais surement, à une meilleure compréhension des politiques mises en œuvre par les pouvoirs publics. Il ne s’agira pas seulement d’expliquer ; mais d’agir aux côtés de ceux qui ont gagné le suffrage des Sénégalais , sur ce qui nous incombe toutes et tous , c’est-t-à-dire le plein épanouissement de nos maisons, quartiers, communautés rurales, communes et villes. A cette occasion , dira Dr Nafissatou Diouf Dieng le CRED est une note d’espoir dans le présent et se projette dans un avenir plus radieux pour toutes et tous les Sénégalais. Au risque d’être long, ils tendent la main à ceux qui hésitent encore à s’investir dans le développement de notre pays car c’est le seul combat qui vaille.
Dans cette période charnière et cruciale, explique la présidente :« Pour notre démocratie où chacun et chacune est conscient de notre capacité à agir sur le présent, des cadres sénégalais , citoyens , des femmes et hommes ont décidé d’unir leurs volontés , leurs forces , leurs savoirs et savoir –faire au services de la communauté ». D’pares un communiqué, le Cred aura pour missions entre autres la conscientisation, l’information et la sensibilisation des sénégalais sur l’intérêt de prendre leur destin en main par l’appropriation des initiatives publiques.
