À chaque fois que la justice rend une décision qui est défavorable à Pastéf, les opposants espèrent qu’on s’attaque aux magistrats en les jetant à la vindicte populaire.

Il n’en sera rien Inchalla!

Les revers judiciaires sont la preuve que nous sommes véritablement dans la rupture, et que la justice travaille sans pression, sans interférence, sans injonction.

C’est aussi le constat implacable de la fin des agendas politiques et de guillotines judiciaires des opposants.

Il faut se réjouir des décisions de justice défavorables et célébrer le triomphe de l’état de droit désormais bien ancré au Sénégal.

Cette décision de la cour suprême sur le rabat d’arrêt introduit par le Premier ministre est la preuve ultime que les vociférations de l’opposition sut les menaces contre l’état de droit et les libertés publiques ne sont que des balivernes sans fondement.

Au Sénégal, la justice n’est plus aux ordres. Les dernières décisions du conseil constitutionnel sur la loi interprétative et de la cour suprême rejetant la suspension d’un médias ou le rabat d’arrêt, sont les marqueurs les plus crédibles de l’indépendance totale de la justice.

e Président Bassirou Diomaye Faye et le Gouvernement du Premier ministre Ousmane Sonko se tiennent loin des péripéties judiciaires. Voilà ce qui va ruiner toute la cabale de l’opposition sur la violation des libertés ou l’emprisonnement des ChronOpposants.

Pastef tient ses promesses de rendre la justice indépendante. C’est ce que la communauté internationale retiendra, au grand dam des Opposants.

Honorable député Amadou Ba Pastef