Peut-on parler de la précampagne électorale de Ould GhaZouani et sa” bande “ à deux mois des élections présidentielles ?
Aucune candidature n’a encore été validée par la dite commission électorale indépendante “ fruit d’une mascarade politique qui ne dit pas son nom.
La Mauritanie est t- Elle en train de nous léguer une leçon de démocratie version Rim (rien n’est impossible en Mauritanie) ; le régime militaire dictatorial de Mouhamed Ould Abdel Aziz ambitionne toujours de régner sans partage dans sa tradition Gabégiste.
L’éventuelle élection probable en l’absence d’un sursaut populaire permettra à Ghazouani, l’autre Aristote de la délinquance économique de régner en toute impunité. En juin prochain la Mauritanie sera t’elle reparti pour encore 10 ans d’esclavage, de discriminations raciale, d’absence de règlement du passif humanitaire, d’une justice inégalitaire, guidée par la main invisible du ”Tyran ”.
Le gouvernements de Ould Abdel Aziz qui utilisent des biens publics à des fins personnels, car, rien ne justifie sur le plan juridique l’utilisation de matériels militaires à des fins privées pour une campagne électorale qui n’a même pas encore eu lieu . La commission électorale nationale indépendante ferme les yeux sur ce qui se passe en Mauritanie.
Le peuple est berné, corrompu par ses dictateurs et le régime militaire qui n’a pas fini son sale boulot. Qui sera le prochain président de la république au juin prochain ? Nous souhaiterions que les Mauritaniens choisissent avec transparence un président digne de son nom qui pourrait changer l’injustice, et la discrimination raciale que vit le peuple Mauritaniens.
Diop Fatimata