En conférence de presse hier, mercredi 21 décembre, la nouvelle équipe dirigeante du Syndicat autonome de l’Enseignement supérieur (Saes) a fait le diagnostic du mal qui préoccupe des universités publiques sénégalaises.
Pour le Saes, il y a le déficit accentué du personnel administratif et enseignant, une absence flagrante d’infrastructures pour l’accueil des étudiants et enseignants. Mais la grosse épine est sans conteste l’insuffisance des budgets des universités.
Mais un autre sujet s’est invité à cette rencontre avec la presse : la question de la gouvernance des ressources extractives et foncières.
Le Syndicat autonome de l’enseignement supérieur (SAES) a appelé à leur gestion transparente et patriotique. C’est pourquoi, les membres du bureau national de ce syndicat a invité les députés à user de leurs prérogatives pour le vote de « lois protectionnistes » pour garantir aux générations futures les bénéfices tirés de ces ressources.