«De qui se moque le conglomérat dénommé abusivement ATEL ?» C’est la question qu se pose Le Député Mamadou Lamine Diallo, président du mouvement Tekki .
En fin de semaine, nous informe Vox Populi, il a dénoncé ceux-là qui avaient «financé des dizaines de listes aux législatives de 2017 pour finir par (leur) imposer, par la force de la répression, un parrainage corrompu».
Les mêmes, dit-il, «ont toujours refusé un ministre chargé des élections non partisan ; de remettre le fichier électoral à temps aux acteurs concernés».
Il s’insurge contre «ceux qui ont taillé (la) constitution dans tous les sens, bouleversé le calendrier électoral et poussé à un décalage entre la présidentielle et les législatives, alors que le peuple avait obtenu une synchronisation des deux élections en 2012».
Ceux-là même qui ont «toujours refusé le bulletin unique ; voulu réduire l’opposition à sa plus simple expression ; toujours refusé l’accès aux médias d’Etat à l’Opposition». Ajoute le journal
Et s’étrangle de rage le député : «les voilà, entrain de réclamer une transparence aux élections anticipées de novembre 2024 qu’ils ont imposées par le bricolage de la constitution au Président BDDF. Tekki a été de tous ces combats démocratiques pour la refondation des institutions de notre pays. Tekki connaît le sujet».
Vox Populi