Entre bourde et légèreté sur la confection des listes électorales par ceux qui aspirent à gouverner un pays.

Cette maladie du système nerveux des politiciens, à qui les neuf dixièmes, dans leur combat sont attirés que par l’appât du gain au détriment du bien-être et  bien-fondé des populations

Confier les valeurs qui fondent une nation, sa démocratie et l’avenir social de tout un peuple ne doit pas se faire dans la tromperie et le truchement. Il faut se nourrir d’une véritable conviction en ayant des ambitions politiques orientées pour le développement et l’intérêt de toute une nation.

En trois mots « Protéger, Développer, Rassembler « voilà quoi on s’attend des gens qui aspirent à siéger dans les institutions. Quand les motivations sont orientées sur ce qui est bon pour son propre intérêt et non sur l’intérêt global de toute une nation c’est de l’égoïsme purement et simplement. On peut comprendre dans un pays de 15 millions d’habitants le nombre important de parti qui annonce leur participation à une  élection puisse être un casse-tête administratif, mais en aucun cas qu’on accepte un « bidouillage » de la  constitution pour faire passer des lois.

Au lieu d’un scrutin sincère nous allons vers des élections qui risquent de porter un gros déshonneur à notre système électoral.

Il est important qu’on tienne compte de ce fait et les coalitions retenues doivent comprendre cela.

Et si le pouvoir trouve maintenant l’idée discutable autour d’une table sur les rejets des listes qui n’ont pas respecté la parité il doit aussi éviter de jouer à la loi du plus fort avec la constitution

L’application de la loi sur le parrainage est un danger dans tous les cas, elle est anticonstitutionnelle. Une élection doit être libre, le candidat ou la coalition qui présente un bon programme et réussit à faire adhérer le peuple derrière son programme sera suivi.

En 2012 Macky Sall a été élu dans ce cas de figure et le président Wade s’est retiré

C’est là le sens d’une démocratie exemplaire.

Le grand théâtre a été construit par le président Abdoulaye Wade pour des manifestations théâtrale.

L’assemblée nationale est un symbole de la République les gens qui aspirent à siéger dans cette institution doivent comprendre que ce lieu n’est pas un cabaret où des festivités en tout genre seront organisées.

Jon Birahim.

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