Près d’un an après le départ de Nafi Ngom de la tête de l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac), l’affaire revient au-devant de l’actualité.
En fait, la chambre administrative de la Cour suprême va se pencher sur le recours en annulation consécutif au limogeage de la vérificatrice.
Qualifiant d’abus de pouvoir de son limogeage, Nafi Ngom avait attaqué le décret présidentiel du 25 juillet 2016 mettant fin à sa fonction car elle estime que son mandat n’était pas encore à terme.
Nommée pour une durée de 3 ans, elle estime que son mandat devait prendre fin le 26 mars 2017.
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