Est-ce le début d’exécution de la menace étatique de priver d’électricité les hôpitaux et structures sanitaires ?
En tout cas, à la capitale du rail, les agents des postes de santé ont arboré hier des brassards rouges pour contester cette décision qui les a plongés dans le noir et paralysé leur fonctionnement.
A Thiès, ces agents ont demandé hier à l’Etat de revoir sa décision car vu leurs maigres, il leur est impossible de pouvoir prendre en charge ce volet.
« Sans eau, ni électricité, il nous est impossible de travailler. C’est l’Etat qui prenait en charge ces frais, il doit continuer à le faire », a insisté leur porte-parole.
Ils aussi réclamé leurs primes d’heures supplémentaires qui, disent-ils, peuvent être même être retard d’une année ou plus avant d’être perçues.