En Afrique on a suffisamment de ressources naturelles abondantes dont disposent un très grand nombre de pays pour se développer . Mais les gouvernements dépendent de l’aide étrangère ,et sollicitent constamment les institutions financières internationales pour leur développement.
Cette dépendance crée un déséquilibre économique et compromet la souveraineté dans ces états Hors cette dépendance elle est mutuelle j’ai besoin de vos moyens comme vous avez besoin de mes ressources
Sauf que les sanctions c’est toujours pour ces pays qui auront du mal à devenir des États forts et indépendants tant qu’ils subiront des restrictions budgétaires .Et pendant ce temps ces institutions financières maintiennent leur influence dans leur politique ‘économique . La relance de l’économie avec le FMI est considérée par certains comme une escroquerie .
C’est un mensonge qui dure depuis 60 ans
Il faut voir tous ces gens qui risquent leur vie pour traverser les frontières et rejoindre l’Europe pour en conclure ainsi .
Ils sont persuadés si cette aide pouvait changer quelque chose dans leur quotidien ils ne risqueraient pas leur vie en mer .’ l’Afrique n’a pas besoin de l’aide extérieure pour survivre, mais plutôt d’être respectée en tant que continent ».
Le développement des pays qui dépendent de l’aide extérieure leurs dirigeants finissent par s’endetter excessivement menant leur pays vers une impasse financière. Les institutions financières érigent « un.mur d’argent » face aux propositions du gouvernement . Ce qui l’oblige a s’endetter davantage avec des taux excessifs . Voilà le vrai problème auquel le Sénégal et d’autres pays de la sous-région font face .
Les dirigeants qui pour la plupart sont des jeunes doivent être capables de trouver des alternatives face aux sanctions économiques imposées par ses institutions financières a leur gouvernement . Quand on dispose suffisamment de ressources pour trouver d’autres solutions . Ce serait une faiblesse de faire subir au peuple le coût des reformes que ces pays voudront faire appliquer pour faire face a la dette .
Birham Jon