Le cordon ombilical de l’exécutif sur le judiciaire n’est qu’un redondant » Système »
Ce qualifiant cordon semble être insécable à l’état actuel, dans la mesure où la marmite judiciaire est décidément rassurée par la dépense de l’exécutif.
D’ailleurs, ce phénomène révolu, harmonise des brillantes figures de notes métaphoriques, issues d’une agitation instinctive du fameux écho de » rupture plus ou moins attendue mais illusion illégale ».
La clé de sol entre nos lignes d’approche angulaire, déchiffre une perception d’équilibre, un exercice d’équité, un principe d’égalité et une illustration symbolique de la balance.
Bref, ceci n’est rien d’autre que la justice proprement dite, une institution qui engendre des missions impossibles mais à la fois irrésistibles.
À priori, cette dernière ne peut être existentielle à tout niveau.
Sans démesure, toute société légalement constituée, naturalise une justice ou une œuvre judiciaire évolutive.
Rapport Fidèle Entre Justice Et L’homme
En vérité, il n’y pas de perfection dans tout ce que l’humain œuvre. En revanche, » l’homme est la mesure de toute chose », a signé le célèbre sophiste Protagoras.
En effet, l’humain, de son imperfection, parvient à enraciner l’activité de toute chose.
À mes yeux : » L’homme est à la fois la chose et sa mesure ».
À posteriori, l’esprit de la justice n’a de quintessence tant que la mesure de toute chose n’a de sens.
Ici, il s’agit d’une interdépendance involontaire entre l’homme (mesure de toute chose) et la justice (chose mesurée).
Par conséquent, aucune justice n’est recevable sans l’implication indéniable de l’humain.
De surcroît, aucune justice n’est humainement fidèle sans aucune force préalablement définie.
C’est pourquoi les penseurs, les élites et experts démontent la théorie de » justice du pouvoir ».
Qu’en est-il de celle du peuple souverain ou transmetteur indirect du pouvoir ?
Ce faux montage est l’une des plus flagrante arnaque du siècle.
Cependant, » le pouvoir de la justice » étant l’une des raisons les plus compatibles avec la démocratie.
À cet effet, le pouvoir de la justice et pour la justice, portent l’illustration la plus orthodoxique. C’est la justice indépendante qui en est l’illustre perception savourable.
Critique Entre Justice Par Force Ou Justice Par La Force
La justice sans la force est impuissante, la force sans la justice est tyrannique.” a témoigné Blaise Pascal.
À l’issue de cette réflexion, une dialectique plus ou moins offrante s’impose, introduisant une approche méthodique des termes.
Par hasard, la nature en tant que telle s’adapte indéniablement à la justesse intelligente, puisée des ressources humaines qui ont pu artificialiser des plus-values de sens.
Naturellement, la force judiciaire forge une ligne directrice indépassable, déterminant les compétences d’agir, la force exécutive et la capacité de libérer ou de punir.
À mes yeux, Pascal, faisant allusion à la » force » comme dénominateur de la » justice puissante », veut signer que la force légitime, ainsi que la puissance légale et le pouvoir juridiquement encadré constituent la quintessence de la justice contre tyrannique.
À cet effet, la justice par force ne serait une tyrannie ?
Quant à celle par la force, n’est-ce pas un article bien défini, faisant allusion à la légitimité voir la légalité logique du pouvoir.
Quelle justice avons-nous au Sénégal ?.
Par Papa S Traoré
Journaliste