L’Association pour la Protection des Droits Humains (APDH) a salué l’ouverture d’une information judiciaire concernant les dossiers Badji et Sambou. Selon Walf-Groupe.com, elle demande également la création d’une Commission d’Enquête Criminelle.
L’ouverture d’une instruction dans les affaires Fulbert Sambou et Didier Badji est accueillie avec satisfaction par l’APDH. Dans un communiqué relayé par Walf-Groupe.com, l’organisation estime que cette étape était indispensable pour faire toute la lumière sur ces disparitions jugées « particulièrement troublantes ».
Toujours selon Walf-Groupe.com, l’APDH encourage le ministère de la Justice à poursuivre les investigations « jusqu’à leur terme » afin d’apporter des réponses claires à une affaire qui a plongé le pays dans un profond émoi.
Profitant de cette dynamique, l’organisation réitère sa demande d’instaurer une Commission d’Enquête Criminelle (CEC) chargée d’examiner la répression survenue entre mars 2021 et juin 2024 lors des manifestations politiques. Pour l’APDH, seule une commission indépendante permettrait d’établir les responsabilités et de garantir la confiance de l’opinion.


