I miss you version Jakarlo

Cette polémique inédite sur le supposé scandale de la dette cachée, le misreporting, le misunderstang a finalement viré à un « I miss you » prononcé en mondovision sur le plateau de Jakarlo/ TFM.

Qu’est ce que Misreporting partage avec  » I miss you » ?

Rien…Juste des digressions,  disons des sénégalaiseries (marque déposée du Doyen Ibou Fall) destinées à amuser la galerie surtout que les gens usent souvent d’anglicismes pour rouler des mécaniques et impressionner leur auditoire.

Et rien d’autre.  C’est fou !

Nos concitoyens adorent ergoter et tourner des problématiques vitales en dérision. M’enfin qui a la prétention de changer les Sénégalais ?

Pas moi en tout cas !

Par ailleurs, il ne faut jamais occulter le rôle capital de la France dans l’administration FMI.

Il faut juste scruter le nombre important de DG français ayant déjà dirigé le FMI pour s’en convaincre.

Michel Camdessus

Jacques De la rosière

Dominique Strauss Kahn

Christine Lagarde et tant d’autres.

La question  existentielle qu’il faut  poser maintenant c’est de savoir la nature des liens actuels entre le pouvoir Diomaye-Sonko et la France. Je crois savoir que récemment des ajustements ont été opérés dans le bon sens.

Par ailleurs, je pense que la bataille de chiffonniers pouvoir Pastef vs Régime Apr/ Benno est juste puérile. Le FMI se moque de cette querelle sénégalo- sénégalaise qui n’intéresse que les politicards désœuvrés.

Il faut juste souhaiter une reprise du programme Sénégal par le FMI dans les meilleurs délais pour relancer la machine économique. C’est le plus important dans l’optique de booster la production nationale. Surtout dans un pays importateur net de produits vitaux.

Le Sénégal importe annuellement l’équivalent de près de 1000 milliards cfa en termes de produits alimentaires à en croire le ministre du commerce et de l’industrie Serigne Gueye Diop qui se prononçait jeudi dernier au King Fahd Palace lors des Assises de l’entreprise organisées par le conseil national du patronat ( CNP).

Ce sont de telles thématiques qu’il faut souvent adresser au sein des médias et des réseaux sociaux.

Malheureusement, nous restons un pays de ragots et de débats grand’ places…

Les enjeux sont connus.  Encore faudrait-il disposer d’une masse critique à même de les prendre en charge.

Sans complaisance !

Que chacun fasse son job et le pays ne s’en portera que mieux…