Les allergiques au renouveau politique Par Mohamed Gassama

Nul besoin de prendre la température de certains nostalgiques pour savoir qu’ils sont atteints de fièvre émotionnelle due, en grande partie, à des agitations futiles et inutiles.

Au lieu de chercher à recouvrer le degré normal de leur corps ou à regarder en face la réalité historique, ils s’aventurent dans de sempiternelles postures antagoniques.

Cette frange de la société se caractérise par le refus d’accepter sa capitulation face au rouleau compresseur de la jeunesse sénégalaise, héroïquement conduite par le Président du Parti « PASTEF ».

Alors que la majorité des citoyens se focalise désormais sur les vrais sujets, des politicards passent tout leur temps à vouloir instaurer de faux débats et, pire, à fouiller dans les poubelles pour y ramasser des futilités ou superfluités qui n’intéresseraient aucun Homme sérieux.

Justement, on a l’impression qu’ils ont tous les problèmes du monde à ouvrir les yeux et à tendre l’oreille pour appréhender le changement de climat politique au Sénégal.

De ce fait, ils prônent le «statu quo ante»

Pour eux et leurs proches, il ne saurait être question de métamorphose ou d’évolution.

En d’autres termes, ils sont allergiques au renouveau politique et au progrès national.

Ainsi, les choses devraient-elles rester en l’état avec un lot quotidien de scandales et de saccage de nos pauvres Biens.

Assurément, personne ne sait ce que certains politiciens veulent réellement.

Quand ils ont des critiques à faire, ils les adressent directement au «Pouvoir pastéfien»,particulièrement au Chef du Gouvernement, Son Excellence Monsieur Ousmane Sonko, au même moment, quand on évoque l’idée d’un «État pastéfien» pour gérer les affaires de la cité, ils s’arrachent les cheveux.

 

Aidez-nous à comprendre !

En tous cas, l’on ne peut pas vouloir quelque chose et son contraire en même temps !

Pour preuve, les vitupérations qui ont suivi les récentes pluies diluviennes dans le pays ainsi que les sorties ou shows médiatico-politiques de soi-disant experts en tout que nous avons notés après la publication du Rapport d’exécution budgétaire au deuxième trimestre 2025.

En clair, ils refusent le changement et militent pour l’art d’exister politiquement sans avoir raison.

Disons-le sans ambiguïté, il y a une catégorie d’acteurs qui, peinant à faire leur cure de rupture, semblent, indubitablement, guidés par l’instinct plutôt que par la raison.

En effet, leur propension à houspiller, à médire et à toujours faire le procès de Diomaye et Sonko en dit long sur la déliquescence de leurs facultés cognitives.

Sous ce rapport, ceux qui se croyaient dans une sorte de fontaine de jouvence, s’illustrent maintenant par une incapacité totale à s’adapter au nouvel environnement politique, économique et social, commandé par le triptyque en chef «Jub Jubal Jubanti».

 

Par Mohamed Gassama

Dieyna SENE
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