L’inexpérience dans la pratique sur la gestion des affaires publiques met en jeu la souveraineté nationale de toute une nation. L’influence de l’Etat dans le concert des nations au plan continental, elle est réduite. Et à l’international à défaut d’un rôle à jouer sur les décisions importantes, elle est perçue comme de la figuration.
Le Sénégal vit ce sentiment d’un modèle de gouvernance fait de façon inexpérimentée dans la pratique des affaires publiques depuis 2012. C’est pourquoi il est important de faire une analyse sur la situation des dettes publiques.
On peut citer l’exemple du haut fonctionnaire l’inspecteur des impôts et domaines Ousmane Sonko qui a déjà tirer la sonnette d’alarme sur l’inexpérience du gouvernement dans la gestion des affaires publiques.
Quand le ministre de l’économie et des Finances Amadou Ba intervient sur l’état de santé de l’économie pour dire aux Sénégalais qu’elle se porte bien. C’est du saupoudrage quand on connait à l’avance le trou non négligeable du déficit budgétaire pas rapport à ce qu’on cherche à faire croire à l’opinion.
La formule d’un taux de croissance à deux chiffres est la méthode favorite d’un régime inexpérimenté qui fonce droit dans l’endettement excessif sans s’arrêter au feu rouge puis à l’arrivée qui annonce une crise.
Ce taux de croissance à deux chiffres selon une étude elle sera à 7,19 % et pas avant 2035. L’approche la plus significative pour connaître l’état de santé économique aurait été de faire un sondage auprès des populations.
Dans un pays où les entreprises étrangères sont exonérées d’impôts pour dit-on favorisé l’investissement extérieur. Si c’est la référence à laquelle le ministre de l’économie annonce la bonne santé financière, il faut tirer la sonnette d’alarme et alerter l’opinion. De l’inexpérience du régime de Macky Sall dans la gestion des affaires publiques et éviter au Sénégal une ardoise très chargée de la dette extérieur.
Jon Birahim
Pds France