Tenue à Dakar du 10ième Congrès de l’AEI Une première en Afrique axée sur l’entrepreneuriat et la compétitivité

Le 10é Congrès international de l’Académie de l’Entreprenariat et de l’Innovation (AEI), s’est ouvert, ce mercredi à Dakar. Organisée par l’institut Bordeaux management school, (BeM), la rencontre de l’AEI  de France, qui n’a été délocalisé qu’une seule fois dans son histoire, (en 2013 en Suisse), se tient pour la première fois en Afrique. Du 6 au 8 décembre 2017,  enseignants-chercheurs, acteurs et économistes vont échanger autour du thème : « Entrepreneuriat, Croissance et Compétitivité : Expériences Comparées »…

Cet événement international, selon le Dr Pape Madické Diop,  PDG de l’institut BeM,  sera un cadre et une opportunité de pouvoir interroger et d’échanger avec les enseignants -chercheurs et les praticiens sur l’entrepreneuriat et son environnement dans une approche comparative.

« Quels sont les facteurs de croissance et de compétitivité ? Comment se construisent les trajectoires de croissance et de compétitivité ? Comment et en quoi l’entrepreneur contribue à l’objectif de croissance et de compétitivité de son entreprise d’une part, de l’environnement dans lequel il évolue d’autre part ?  Quels sont les outils et les stratégies activés ? Tels seront entre autres les thèmes sur lesquels les débats porteront et ne manqueront pas de trouver réponses devant tant de talents et de sciences réunis », at-il expliqué.

Cet évènement, selon Dr Diop est aussi le lieu de manifester toute l’importance que BeM Dakar accorde à la recherche scientifique, et de magnifier sa contribution à la vie de la communauté scientifique sénégalaise et africaine dynamiques et prometteuses.

Dans son intervention, Jean Paul Gaudemar, le recteur de l’Agence Universitaire francophone (AUF),  a relévé que la rencontre de Dakar, « à l’instar des précédentes éditions du congrès de l’AEI, a pour caractéristique principale l’ouverture et réunit des chercheurs et experts de haut niveau, venus de tous les continents et d’institutions universitaires prestigieuses ».

« Les jeunes après un bon cursus universitaire ne epnsent plus qu’à des postes de responsabilité voire même être fonctionnaires. C’est l’occasion de saisir des opportunités pour être un bon entrepreneur », a-t-il ajouté/

Plus de dix ateliers sont prévus autour l’entrepreneuriat, du leadership, de la compétitivité et du financement.

Momar Diack SECK
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