De nombreux pays gravitent autour de la résidence de l’offre mondiale ou la citoyenneté en échange d’investissements.

Cela fait un certain temps maintenant, Transparency International avait lancé une mise en garde au sujet des risques de corruption dans les régimes dits « de visas d’or » que certains Etats membres de l’Union européenne (UE) sont en train d’accorder.

Certains d’entre eux sont particulièrement attrayants pour les personnes qui cherchent un « get-out-of-prison » (hors de prison) sans carte et un refuge sûr pour leurs avoirs illicites. Plus souvent qu’autrement, ces régimes sont enveloppées dans le secret le plus total.

Ainsi, lorsque le gouvernement de Chypre cette semaine a admis que leur programme avait été abusé par des individus corrompus, Transparency se dit à peine surprise. Le pays a dit qu’il révoquera les passeports de 26 personnes qui les ont reçues au moment « où les contrôles n’étaient pas strictes. »

Parmi ces bientôt ex-Chypriotes, figure le financier fugitif Jho Low.

Est-ce que le nom résonne comme une cloche?

Low est actuellement recherché comme le cerveau présumé derrière le scandale de corruption d’un milliard de dollars de la Malaisie. Détail intéressant: il aurait obtenu son passeport européen après le de détournement de fonds avait été exposé.

Et Low n’est pas la seule personne à utiliser les biens suspects liés à l’accès à l’UE. Des Membres de la famille et associés du chef autocratique du Cambodge aurait acheté leur billet pour une vie de luxe européenne via le système de Chypre, aussi.

Pourtant Chypre n’est pas le seul pays de l’UE en cours d’exécution d’un tel système risqué. L’année dernière, en collaboration avec Global Witness, Transparency International avait étudié les programmes européens de visas d’or et a appelé l’UE pour mettre sa maison en ordre.

L’Organisation internationale promet de maintenir la pression.