Selon une étude présentée hier, la gestion participative dans le secteur de l’éducation et de la formation est hypothéquée par l’engagement timide des communautés, par rapport aux compétences et responsabilités qui leur ont dévolues, bien vrai que celles-ci méritent d’être définies de manière plus précise et plus opérationnelle.

Cette  étude diagnostiquant la gouvernance du secteur, réalisée par la coalition des organisations en synergie pour la défense de l’école sénégalaise (Cosydep) montre que 58% des personnes interrogées ne sont pas satisfaites de la gouvernance du secteur de l’Education et de la formation..

Ces propos sont confirmés par le consultant, Moussa Mbaye, qui soutient qu’au cours de cette enquête 58% des répondants se disent ne pas être satisfaits de l’évolution du programme Paquet mis en œuvre en 2018.

« Les meilleures performances sont assez faibles et s’élèvent à 6% ». De son avis, pour les stratégies, les concernés constatent des transformations à savoir que les acteurs centraux changent leur méthodes et ne se mettent plus à administrer directement en laissant de l’espace aux acteurs à la base envoyer des moyens aux établissements d’être plus responsables des établissements », a-t-il soutenu.

Moussa Mbaye est d’avis que  les acteurs de la société civile  doit être plus présente.