Le bilan d’autosatisfaction permanente du chef de l’Etat lors de son traditionnel discours à la nation et sa réponse va-t’en’ en guerre sur l’organisation des élections face la presse dévoilent un peu de sa stratégie machiavélique pour « remporter » les présidentielles au soir du 24 Février.
Il est de mon devoir en tant que fils de ce pays de dénoncer cette démarche belliciste, génératrice de tensions qui non seulement risque de plonger le Sénégal dans une crise post –électorale très longue mais aussi de ternir sa réputation de vitrine de la démocratie en Afrique
Le Sénégal n’a jamais été aussi mal gouverné, face à toutes ces menaces qui pèsent sur sa stabilité et sa cohésion sociale, je voudrais lancer un appel solennel au peuple du Sénégal, de sa diaspora à être vent debout au soir du 24 pour sauver ce pays de cette dictature rampante, de la ploutocratie et de l’oligarchie.
L’heure est grave, raison pour laquelle nous devons dans une démarche citoyenne taire nos intérêts irrationnels et nos divergences idéologiques pour sauver notre patrimoine en commun (le Sénégal) en danger.
Boubacar Sèye
HSF