J’ai écouté un homme qui va droit au but pour décrire le climat politique sénégalais sans langue de bois. Quant à savoir pourquoi la mise sur pied de la coalition Manko taxawoo Sénégal pour s’unir aux élections législatives initiée par le secrétaire général du Pds et chef de l’opposition le président Abdoulaye Wade n’a pas tenu.
Au dernier moment certains ont brouillé les pistes alors que le président Wade avait pratiquement reçu tous les leaders politiques qui composent cette coalition un à un dans sa résidence à Versailles.
Diaz père de répondre c’est une erreur qui incombe tous les leaders de partis qui composent cette coalition. C’est regrettable pour sa part qu’aucun des leaders n’est en mesure de diriger la liste de l’opposition.
Ma conviction cette brouille va au-delà de Oumar Sarr et Khalifa SALL parce que certains ont préférés s’abstenir que de voter entre un Oumar Sarr fidèle à Abdoulaye Wade libre de ses mouvements comme tête de liste où un Khalifa SALL populaire mais en prison. Il y’ a une sorte de corruption autour de cette coalition et des leaders politiques ont trahi encore une fois de plus le président Wade.
Père Diaz n’écarte pas cette idée et voit les moyens financières dont dispose un pouvoir pour corrompre son opposition et son peuple. Et il est d’avis que Macky Sall ne pourra obtenir sa majorité que par la fraude et la corruption. Parce qu’au bas mot les sondages ne lui créditent que 50 à 60 sièges sur les 165 que compte l’assemblée nationale si l’opposition se serre les coudes. Remerciant cette homme très médiatique dans la scène politique sur son point de vue sur les législatives sans langue de bois.
Diaz père d’un sourire radieux et plein d’espoir pour la victoire de l’opposition aux législatives me dit qu’il battra campagne et dira ce qu’il pense.
Et de me demander si pour ma part j’irais battre campagne comme lui au Sénégal. C’est une possibilité mais notre leader de parti le président Abdoulaye Wade comme vous battra campagne et croyez-moi cette nouvelle hante le sommeil des tenants du pouvoir.
Jon Birahim
Pds France.
