Actualité marquante de la lutte contre la corruption : Transparency international partage les lacunes juridiques et juridictions secrètes favorisant la corruption

Cette semaine, il est apparu que Samherji, l’un des plus grands conglomérats de pêche de l’Islande, semble avoir fait exactement cela. Une enquête médiatique commune basée sur des milliers de documents divulgués (« The Fishrot Files ») a révélé un exemple de manuel de la façon dont les lacunes juridiques et juridictions secret permettre la corruption et l’exploitation de l’environnement à l’échelle mondiale.

Selon l’info hebdomadaire de Transparency, Samherji aurait utilisé une société anonyme de shell dans les îles Marshall pour blanchir le produit des activités de pêche illégale au large des côtes de l’Afrique occidentale et les membres de soudoyer du gouvernement namibien. Deux ministres ont déjà démissionné des allégations selon lesquelles ils ont accordé à la société un accès préférentiel aux zones de pêche en échange.

La société aurait utilisé des sociétés fictives dans d’autres paradis fiscaux tels que Dubaï, Maurice et Chypre, aussi. La plupart de l’argent qui a coulé par ces entreprises peut être retracée à un compte bancaire à la banque norvégienne appartenant à l’État DnB NOR.

L’affaire Samherji montre à quel point nous avons besoin des banques pour leur jeu de lutte contre le blanchiment d’argent, et l’importance de plus en application active contre la corruption étrangère. Il met également en évidence le rôle que jouent les juridictions secret pour faciliter la corruption quand ils permettent au réel, ou bénéfique, les propriétaires d’entreprises de rester anonymes. Deux ans après le « Paradis Papers », les paradis fiscaux offshore sont encore ouverts à toutes sortes d’activités de poisson.

Pape Ismaïla CAMARA
Up Next

Related Posts